Dans l’émission « Comme jamais », diffusée mercredi soir (21 heures) sur RMC Sport, le milieu du PSG Marco Verratti se confie sur sa vie privée et le PSG. Morceaux choisis.
Verratti repéré… par l’émir du Qatar en 2012 ? « Il a demandé des informations à Léo (Leonardo) et Ancelotti pour savoir s’ils me connaissaient. Je ne pense pas qu’ils me connaissaient beaucoup. Après ils ont demandé des informations à d’autres gens en Italie. […] C’est une histoire un peu bizarre. C’est pour ça que je dis que dans le foot, il faut aussi un peu de chance. »
Son départ raté au Barça en 2017. « Barcelone me présentait tout autre chose, c’est normal qu’à un moment tu réfléchisses ».
Les rumeurs sur ses sorties nocturnes. « On est des personnes comme les autres, on ne fait rien de particulier. Je fais des choses tranquilles. Je peux sortir comme toi tu peux sortir. Si j’ai un jour libre, je peux sortir, ce n’est pas grave. Il arrivait un moment où je sortais une fois, une personne disait : « Je l’ai vu ! » et cela devenait : « Il sort tous les soirs ». Ce n’était pas du tout ça. »
Au PSG jusqu’à la retraite. « Je pense que le Paris Saint-Germain peut me supporter jusqu’à la fin de ma carrière. Moi j’aime jouer au football. Je le fais aussi sans prendre d’argent, avec des amis. Et quand tu le fais dans un endroit où tu aimes tout, je ne vois pas pourquoi je devrais changer ».
L’arbitrage. « En France, on arrête les actions toutes les 20 secondes. On arrête, on arrête, on arrête. Des fois, je ne sais pas mais sur la première mi-temps d’un match, le temps effectif, où on joue vraiment, je ne sais même pas si on joue 15 minutes. C’est vraiment incroyable. Le gardien doit tirer le ballon, il met 30 secondes. Et l’arbitre siffle. Et un joueur se jette. Même pour les gens qui regardent le match, ça devient trop…Trop lent. Tout est trop lent. En Italie, c’est normal de parler avec l’arbitre. C’est toujours normal. Ici par exemple, si je demande, si je dis à l’arbitre comme ça : « Combien de temps il reste ? » (Il marque un silence) C’est comme ça, ce n’est pas normal ».