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Quand Rabiot insultait… Ibrahimovic

Adrien Rabiot

Adrien Rabiot

Dans Le Parisien, Adrien Rabiot s’est confié sur son état d’esprit actuel… et son passé.

Son rêve Bleu

Je devais avoir 6 ou 7 ans. Je commençais tout juste à jouer au foot et j’étais fasciné par les symboles de l’équipe de France : le fait de représenter son pays, la couleur du maillot, « la Marseillaise » avant les matchs. A la limite, ça m’intéressait plus que les joueurs eux-mêmes.

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Didier Deschamps

Il me reçoit d’abord pour un entretien individuel pour m’expliquer ce qu’il attend de moi. Ensuite, dans les jours suivants, j’ai apprécié sa bonne humeur. Didier Deschamps est quelqu’un de souriant et je trouve ça important pour diriger un groupe.

Son surnom… David Luiz

C’est Javier Pastore (qui lui a donné ce surnom) au moment où je rejoins les pros du PSG à l’entraînement, en 2012. Il trouvait sans doute qu’il y avait une ressemblance capillaire avec David… Mais ce surnom n’a pas duré très longtemps. Le surnom qui me colle encore à la peau, c’est Poupou. Jean-Luc Vasseur, mon coach en U 17 au PSG, m’appelait Puyol (NDLR : ex-défenseur central du FC Barcelone), là encore pour ma chevelure. C’est devenu Poupou pour mes collègues du centre de formation. Kingsley (Coman) m’appelle encore comme ça, d’ailleurs.

Ibrahimovic

On s’est chauffés à l’entraînement deux ou trois fois, à la suite de contacts un peu virils. Mais je me suis vraiment embrouillé avec lui aux Etats-Unis lors d’un match de présaison contre Chelsea. Il me reprochait un truc qui n’était vraiment pas de ma faute. Et moi, je ne supporte pas le sentiment d’injustice… Donc j’avais réagi en l’insultant. Ce n’est pas très cool de ma part. Mais on avait fini par s’expliquer et les choses s’étaient arrangées.

Les séances vidéo d’Emery

La dernière, c’était à la veille du match contre Rennes et elle n’a duré que vingt minutes. A la fin, il est venu vers moi et m’a demandé si c’était bien. Je lui ai dit : « Oui, oui, coach, c’était bien, là. » En début de saison, ça durait plutôt une heure. (Sourire.)

Toute l’interview est à lire ici

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