Le Parisien apporte quelques éclairages sur les jeux de pouvoir au sein du club parisien.
L’Emir du Qatar. Le Parisien l’assure, l’émir du Qatar « est le chef suprême ». « Il dispose d’une vraie connaissance du ballon rond. Il appelle plusieurs fois par semaine Al-Khelaïfi pour connaître dans le moindre détail la vie du PSG. Il prend les décisions stratégiques qui engagent le carnet de chèques du club (donc le sien). On dit que certains joueurs ont la ligne directe du chef suprême. On prête ce privilège à Thiago Silva. C’est lui qui vient d’imposer Tuchel. Il aurait également demandé le recrutement de Krychowiak. Personne ne peut s’opposer à ses décisions ».
Nasser Al-Khelaïfi. Le président du PSG « valide toutes les décisions, y compris celles qu’il ne prend pas », selon Le Parisien. La prolongation de Laurent Blanc, c’était lui. Il entretient aussi de sliens directs et étroits avec les joueurs « quitte à court-circuiter la direction sportive, l’entraîneur en particulier », assure Le Parisien. « Chaque jour, il reçoit le compte rendu des dernières décisions qu’il appuie ou infirme ».
Jean-Claude Blanc. Le patron du PSG quand NAK n’est pas là. Jean-Claude Blanc est « en première ligne sur le dossier brûlant du fair-play financier ».
Les autres. Jean-Martial Ribes, « autre très proche de Nasser » selon Le Parisien, dirige la communication du club et ne serait pas souvent en accord avec Antero Henrique. Le pouvoir de Henrique « s’exerce essentiellement dans ce domaine des achats et ventes de joueurs. Ses décisions fortes interviendront dès la prochaine saison », assure Le Parisien. Cette thèse est avancée par son entourage. S’il reste…