Selon L’Équipe, Ezequiel Lavezzi avait bien bénéficié d’une autorisation de quelques jours de repos supplémentaires…. Avant que le club ne change d’avis.
L’affaire rebondit. Lavezzi, coupable d’avoir séché la reprise au Maroc, avait-il eu, dans un premier temps, la bénédiction du club ? C’est ce qu’avance L’Equipe, selon qui l’Argentin avait demandé une rallonge de quelques jours – acceptée puis retirée par la direction – pour passer plus de temps avec son fils. Ezequiel Lavezzi aurait alors décidé d’honorer, malgré tout, la promesse faites à son fils et de passer outre la décision du club, s’exposant ainsi à des sanctions.
« Avant de s’envoler vers son pays, l’Argentin avait demandé l’autorisation du club pour rester quelques jours de plus au côté de son fils, qui connaissait quelques problèmes. La direction avait accepté, avant de lui téléphoner, peu avant Noël, pour annuler ses jours de bonus et lui signifier qu’il était attendu le 28 décembre. Lavezzi, qui s’était déjà engagé auprès de son fils, n’a pas voulu rompre sa promesse et s’est donc exposé à la punition à son retour, le 2 janvier ».
« Lavezzi n’a jamais manifesté l’envie de quitter Paris »
« Laurent Blanc avait alors demandé à sa direction de lui trouver une porte de sortie lors du mercato de janvier, afin de se libérer d’un gros salaire, de bénéficier d’une indemnité de transfert et d’être en mesure de se renforcer au même poste. Seulement, contrairement aux rumeurs venues d’Italie, Lavezzi n’a jamais manifesté cet hiver l’envie de quitter Paris, où il est lié jusqu’en juin 2016. Il s’agit désormais, pour Pocho, de retrouver la même efficacité que l’année dernière (12 buts) et de s’imposer, comme la saison passée, » écrit L’Equipe.
« Ezequiel Lavezzi compte s’imposer en dépit de la fraîcheur de ses relations avec Laurent Blanc », conclut le journal. Y-a-t-il eu manipulation de la part du PSG ? Nul doute que Laurent Blanc devrait être harcelé de questions sur le sujet, lors des prochaines conférences de presse…
