Flash Mondial : il caillait dans les tribunes de Qatar-Equateur, Mbappé ou Griezmann pour les pénos, Nasir charge le staff des Bleus
Retrouvez chaque jour, pendant le Mondial, les infos principales sur la compétition qui se déroule au Qatar.
Karim Benzema blessé de dernière minute, c’est la mauvaise nouvelle pour les Bleus à quelques heures du début du Mondial pour l’Equipe de France. Mais pour Samir Nasri, le cas Benzema a été mal géré. «Marabouté, je ne sais pas. En tout cas, je l’ai eu hier, il était dépité mais je trouve que la gestion a été mauvaise avec lui» , a lâché l’ancien Gunner.
«C’est un joueur spécial qui requiert une attention spéciale. On n’avait pas forcément besoin de Benzema pour l’Australie, la Tunisie et le Danemark. C’est un joueur qui te fait franchir un palier et donc on en avait besoin pour les matchs à élimination directe. Je trouve ça vraiment dommageable. Il ne fallait pas le pousser, c’est un joueur, la saison dernière, qui a joué près de 60 matchs, c’est normal qu’il ressente une certaine fatigue, il a 34 ans. Donc je pense qu’il ne fallait pas forcément pousser pour ce début de compétition. Rappelons que la décision de tout stopper a été prise en accord avec le joueur… mais Nasri dénonce donc la mise en orbite de Benzema, qui était programmée pour France-Australie. Pari perdu.
Il faisait… froid dans le stade
La climatisation dans le stade de Qatar-Equateur était… trop froide. Dans l’enceinte du Al-Bayt Stadium, alors que la température extérieure était d’environ 27 degrés, le ressenti était de 20 degré sans les tribunes. « On était tous morts de froid. En Equateur, on a des régions où il fait froid mais ici, c’était pire que chez nous ou que chez vous en Europe. On avait les pieds gelés. On se couvrait avec notre drapeau. On avait envie qu’ils éteignent cette climatisation », a dit à RMC Sport, Angélica, supportrice équatorienne. Plusieurs autres supporters ont estimé que la climatisation n’était pas nécessaire…
Olivier Giroud arrive proche de la fin de sa carrière, mais il ne compte pas raccrocher le maillot Bleu de si tôt. « Je ne me fixe aucune limite, j’ai dit que ça pourrait être ma dernière compétition, mais je n’ai pas envie d’annoncer quoi que ce soit. Je jouerai jusqu’à ce que mon corps dise stop », a-t-il dit au Parisien. A 36 ans, il estime pouvoir aller encore plus loin. « Je suis en sélection depuis maintenant onze ans. Mon esprit de compétiteur me pousse sans cesse à aller chercher encore plus. J’ai soif de victoires. De trophées. A mon âge, pouvoir être aussi décisif et se sentir bien, c’est un véritable bonheur »
Des mois après, les propos de Mbappé sur le niveau du foot sud-américain font encore parler. Le Brésilien Richarlison lui a répondu via AS : « chacun peut dire ce qu’il veut. Tout comme il y a des équipes, faibles, en Amérique du Sud, selon Mbappé, il y a aussi des équipes faibles en Europe. Je pense que ça n’a pas d’importance, il n’y a rien à dire ». Mbappé avait lâché : « le football (sud américain) n’est pas aussi avancé qu’en Europe. C’est pour ça que les dernières Coupes du monde, ce sont toujours les Européens qui gagnent. »
Pas de penaltygate comme au PSG. Les Bleus ont établi une hiérarchie claire et net pour les tireurs de pénos. Entre Griezmann et Mbappé, les deux choix logique en l’absence de Benzema, il y aura donc un numéro 1 et un numéro 2. Mais qui ? «Vous le verrez demain. Il y a plusieurs possibilités. Il y a une hiérarchie qui peut être évolutive», a dit Didier Deschamps, un brin mystérieux.