Dani Alvès avoue la relation sexuelle, Chelsea n’a pas assez de place pour toutes ses recrues et le c’est pas moi c’est toi entre le Barça et le Real : c’est l’actu foot de ce 18 avril.
Le Brésilien Dani Alves, accusé de viol en Espagne, niait toute relation sexuelle jusque-là, mais c’était avant. Le joueur a devant la juge avoué avoir eu un rapport « consenti » avec la plaignante, selon les médias espagnols. Dani Alves dit avoir menti pour tenter de sauver son mariage, mais avec les preuves qui s’accumulaient, il a finalement changé de version. Selon lui, la femme qui l’accuse était consentante. La jeune femme accusé Dani Alvès de l’avoir violée fin décembre dans les toilettes d’un salon privé d’une discothèque à la mode de Barcelone.
Roman Abramovich est-il déjà regretté à Chelsea ? Un an après son arrivée, Todd Boehly a réussi à mettre le bazar à Chelsea, selon The Athletic. Thomas Tuchel viré en début de saison pour installer Graham Potter: 25 M€ dépensé. Le même Potter viré quelques mois après, l’opération coûtera encore des dizaines de millions d’euros. « Les Américains ont voulu montrer que, contrairement à Abramovich, ils étaient capables de conserver un manager sur le long terme. Mais finalement, ils ont fait preuve de la même impatience. Pire, Boehly et Eghbali ont compliqué la tâche de Potter, en se montrant très présents aux entraînements, ce qui fragilisait la position du coach vis-à-vis des joueurs », a indiqué un familier du club à l’Equipe.
Entre temps, Chelsea a dépensé plus de 600 millions d’euros lors du mercato. Mais selon The Athletic, les nouveaux patrons n’avaient pas prévu le trop gros effectif : le vestiaire du centre d’entraînement des Blues n’est pas… assez grand pour que tous les joueurs puissent s’installer lors des séances. Et ce n’est pas tout: les propriétaires américains auraient des méthodes assez expeditives. Le chef des kinés, au club depuis 17 ans, a été viré par Zoom en seulement trois minutes. « Quand ils sont arrivés, ceux-ci ont enchaîné des réunions où ils expliquaient ce qu’ils avaient fait dans le passé et comment ils allaient transformer Chelsea, sans écouter leur interlocuteur… C’était lunaire », explique un ancien employé au quotidien L’Equipe.
Suite aux accusations de Joan Laporta, président du FC Barcelone, qualifiant le Real Madrid d’être « l’équipe du régime », le club madrilène a répliqué. C’est la guerre entre les deux grands d’Espagne. Le Barça avait accusé ces dernières heures le Real Madrid d’être « l’équipe du régime » de Francisco Franco, dictateur espagnol de 1936 à 1975.
Le Real Madrid a vite répliqué avec une vidéo présentant les liens entre le Barça et le dictateur. La vidéo affirme que le Camp Nou a été inauguré par le ministre général de Franco, que le Barça a remis son insigne à Franco et l’a nommé membre d’honneur en 1965, en plus d’avoir été décoré à trois reprises et sauvé trois fois de la faillite par ses décisions. En outre, le Barça a remporté huit fois la Liga et la Coupe à neuf reprises sous Franco. La vidéo poursuit en affirmant que le Real Madrid a mis quinze ans pour remporter un championnat, a été démantelé pendant la guerre civile et que certains de ses joueurs ont été assassinés, détenus ou contraints à l’exil. L’ancien président du club, Santiago Bernabeu, conclut la vidéo en déclarant que « Quand j’entends que le Real Madrid a été le club du régime, ça me donne envie de déféquer sur le père de celui qui déclare cela. » Bonne ambiance.