Luis Enrique, l’entraîneur du PSG, a fait le point sur le groupe avant le match entre le PSG et le Milan AC mardi soir en Ligue des Champions.
Pas de changement… de philosophie. « Le plus logique, c’est d’oublier le match aller. Ce sera différent. On a une idée très claire de ce qu’on veut faire, avoir plus le ballon, se créer plus d’opportunités face à un adversaire difficile, qui a besoin de points dans ce groupe, comme toutes les équipes. »
Enrique voit le positif, toujours. « Je suis toujours optimiste. On va jouer contre un rival difficile, dans un stade historique. Je suis optimiste parce que je vois que les joueurs ont vraiment hâte de jouer ce match. Je suis toujours content de l’attitude de mon équipe, dès le premier match. Je suis content de ce qu’on fait, même s’il y a des choses à améliorer. Les progrès sont évidents. L’équipe a cette volonté de lutter. C’est une caractéristique importante. Tous les joueurs s’améliorent sur différents aspects. Je serai heureux à la fin de la saison si tout le monde a progressé. Il faut attendre la fin de saison pour savoir ce qu’on aura bien fait. Comme entraîneur, je suis très satisfait de ce que je vois, de l’attitude de l’équipe, notre manière de jouer. Je suis très satisfait mais il faut toujours s’améliorer. »
Zaire Emery. « Warren est un diamant. Il est encore très jeune, il a forcément des choses à améliorer. Il joue en fonction de ses coéquipiers. Il sait où aller sur le terrain. C’est facile d’entraîner un joueur comme lui, avec ses caractéristiques innées. Sa plus grande qualité, c’est qu’il est humble. Il a 17 ans. Ça vient de son éducation, je pense. »
Retour de Donnarumma qui sera chahuté à San Siro. « On a rigolé de ça avec Donnarumma, parce que c’est quelque chose d’habituel dans le football. Pleins de grands joueurs ont connu ça. Je pense qu’il n’y aura pas de problème particulier. »
Faire que Milan s’adapte au PSG. « On étudie toujours comment joue l’adeversaire mais on a un objectif toujours très clair, c’est de faire notre match. L’objectif c’est que ce soit eux qui s’adaptent à nous. On pense toujours à la même chose. Le but avec le ballon est très clair et lorsqu’on ne l’a pas, on veut le récupérer le plus rapidement possible. »