Luis Enrique, l’entraîneur du PSG, a fait le point sur le groupe avant le match à enjeu contre l’Atletico Madrid en Ligue des Champions.
Le PSG y croit. “Le sentiment est presque le même que pour les autres journées de Ligue des champions: de l’optimisme, de la confiance et l’objectif très clair de prendre les trois points.”
Le duel avec Diego Simeone. “Je n’ai pas de préférence (entre affronter un entraîneur au même profil de jeu que le sien ou un autre complétement différent). Je jouerai de nouveau contre M.Simeone comme lorsque nous étions joueurs, puis entraineurs. J’admire quand je vois un entraîneur qui reste autant d’années dans un grand club. Quand tu restes aussi longtemps, c’est que tu est un entraîneur incroyable. Ce sera un match difficile contre un adversaire qui sait très bien jouer avec des très grandes individualités.”
Gérer le calendrier. “Tous leurs joueurs sont internationaux. Ils seront très compétitifs et seront de haut-niveau. On arrive à la moitié du calendrier, on ne sait pas trop ce qu’il va se passer. On se concentre sur le match de demain.”
Match couperet ? “Si demain, l’une des équipes perd mais gagne les quatre matchs suivants, elle se qualifiera dans les 24. Non, ce n’est pas un match décisif. Qu’il soit importat et que nous voulions gagner, aucun doute. Si on regarde notre calendrier, il est plus ardu mais personne ne sait ce qu’il va se passer dans le foot.’
L’attaque a du mal. “Allons-nous marquer plus de buts? C’est un autre contexte. Nous travaillons chaque semaine pour améliorer notre efficacité mais en tant qu’entraîneur, je veux les même statstiques que face au PSV ou Gérone. On ne peut pas dire: on va acheter un joueur qui marque tant de buts, on fait avec notre équipe et les joueurs qui sont le mieux placés pour conclure une action.”
Luis Enrique décidera mercredi entre Donnarumma et Safonov “Vous le découvrirez demain. Demain matin après un bon cappucino, je vais décider quel gardien sera le plus à même de jouer. Si demain, quelqu’un se réveille avec la grippe on pleure ou on rit? On décidera qui seront les 11 chanceux qui joueront mais tout le monde est numéro 1.”