Site icon VIPSG

Mercato – Joao Neves ne voulait pas vraiment signer au PSG

joao neves

joao neves

Le président du Benfica Lisbonne continue de faire des révélations sur le transfert de Joao Neves au PSG : selon lui, le joueur ne voulait pas vraiment venir à Paris.

Joao Neves au PSG, c’est l’une des grosses recrues de l’été. Ca a pris du temps, mais les dirigeants du benfica Lisbonne ont finalement cédé contre 60 millions d’euros, sans d’éventuels bonus à venir. Rui Costa, le président du club, souligne que Neves n’avait pas vraiment l’intention de partir.

« Nous parlons d’un joueur charismatique et il est toujours pénible de perdre un tel joueur. Nous avons rejeté des offres plus tôt et à des niveaux inférieurs, et nous avons continué à faire monter les enchères. Les premières offres étaient inacceptables, mais l’inévitable a été atteint. João ne voulait pas partir, mais il y a des chiffres qui ne se refusent pas, tant pour le joueur que pour le club. »

Prix de vente trop bas ? Pas pour le PSG

« Le prix de vente de 60 M€, qui pourrait atteindre et atteindra 70 M€, a été jugé trop bas par certains. Tout d’abord, quand il s’agit de qualité, de charisme et d’un joueur formé au club, nous pensons tous que cela n’a pas de prix. Mais il faut regarder le marché et voir comment il fonctionne. »

Car oui, la clause libératoire était fixée à 120 millions d’euros. Soit deux fois plus… « Le marché été le plus bas depuis 2016, il n’y a pas eu de transfert supérieur à 100 millions. Il ne s’agit pas de battre des records, le plus cher a été un attaquant vainqueur de la Coupe du monde pour 75 M€ (Julian Alvarez à l’Atlético) », lance Rui Costa.

Le mercato en baisse, Benfica a du céder au PSG

« En ce moment, le marché a tendance à baisser, j’espère que cela ne se confirmera pas à l’avenir mais c’est une réalité. Le transfert de João se situe dans le top 5 de ce marché et s’il atteint 70 millions d’euros, il sera le deuxième. Ce prix est extrêmement élevé dans le marché actuel. Cela fait toujours mal de voir partir un de nos garçons, mais nous ne pouvions pas dire non. »

Quitter la version mobile