Le PSG “s’est compliqué la tâche tout seul” : Luis Enrique met la pression avant le Bayern
Luis Enrique a fait le point sur le groupe avant le match de Ligue des Champions entre le PSG et le Bayern Munich.
Sur Kimpembe. “Kimpembe, ça se passe bien mieux pour lui mais il est encore en phase de récupération. En revanche, Gonçalo Ramos est davantage prêt.”
Sur Ramos. “Gonçalo Ramos est dans le processus final de récupération, avec l’intention de revenir, mais je ne sais pas quand. L’objectif est que tous mes joueurs soient prêts pour n’importe quel match.”
Un grand match. “Il ne faut pas généraliser ou comparer. Le Bayern est favori partout, dans toutes les compétitions. C’est un club historique, différent de tous les autres clubs allemands. Il a un poids énorme. C’est un football avec la même idée de jeu que nous, comme Manchester City. On aura deux fronts qui se feront face demain et c’est ce qui garantit un très grand match.”
Le PSG s’est mis dedans tout seul
“On a joué douze matchs de Ligue 1 et quatre de Ligue des champions, ce qui fait seize matchs au total. Et je crois qu’à chaque fois, saut probablement à Arsenal (défaite 2-0), mon équipe a livré de très bonnes performances. C’est quelque chose qu’on a pu voir au niveau des statistiques, en attaque ou en défense. Demain, on va suivre cette même ligne, mais évidemment, il va falloir aller plus loin que ce à quoi nous sommes habitués. Ce sera pareil pour le Bayern. Quand on n’aura pas le ballon, il nous faudra courir plus. Il faudra élever le niveau, surtout quand on joue contre un adversaire de ce niveau-là et qu’on joue chez eux.”
“On a déjà joué quatre matchs de Ligue des champions, dont trois à domicile. Le résultat est-il juste ou pas? Je l’ai déjà dit, pour moi, il est injuste. Mais il est ce qu’il est. Donc maintenant, on est obligés d’avoir de bons résultats pour se qualifier. On ne sait pas encore combien de points il faudra pour y parvenir, mais on s’est compliqué la tâche tous seuls. Le football ne connaît qu’une chose, ce sont les buts marqués et pour ça, on a encore une marge de progression.”