Le PSG s’est qualifié pour les quarts de finale de la Ligue des Champions. Forcément, la presse fait les gros titres sur la victoire.

Quatre ans, et une malédiction enfin brisée. Le PSG n’a pas gagné la LDC, mais c’est presque comme si c’était fait. “A huis clos et dos au mur”, le PSG a brisé la “malédiction pour atteindre les quarts”, publie l’AFP. Le PSG “refranchit enfin le cap de bonne espérance”, titre La Dépêche du Midi.

Le quotidien régional part ensuite en vrille, ou en poésie: “Finalement, il relève d’une certaine logique de le voir s’affranchir de son nez rouge et de ses joues crémées par la voie de l’irrationnel, puisque l’atypisme et l’inconfort sont définitivement ses moteurs. Éternellement singé pour ne résister à rien, le PSG a cette fois résisté à tout”.


L’Equipe fait plus sobre : “Le PSG a chassé ses démons et a fêté sa qualification comme s’il avait remporté la Ligue des champions, après laquelle il court tant”. “Après ces 90 minutes, le PSG peut de nouveau croire en ses rêves de grandeur. Cela faisait quatre ans qu’il attendait cela”. La une de l’équipe avec Angel Di Maria :

Le Parisien titre avec le classique “Paris libéré” : “le PSG mérite son passage en quarts. Le club le plus imprévisible du monde a encore frappé. (…) Rien ne sert d’aligner les stars et les gros salaires, juste souffrir ensemble en se refilant le virus de la combativité”.

Enfin, Le Figaro parle d’une “scène irréelle et une communion totale” avec les supporters. “Le tout avec fumigènes et feux d’artifice pour fêter la qualification des héros du soir en quart de finale de la Ligue des champions. Une séquence hors du temps. Comme de nombreuses autres pour une soirée vraiment pas comme les autres”.

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