Thierry Henry a préféré les JO au Mondial 1998, le gros coup de gueule de DEschamps et Lionel Messi qui insulte honteusement un arbitre : c’est l’actu foot de ce 15 novembre 2024.

L’été dernier, Thierry Henry a dirigé l’équipe de France U23 jusqu’à la finale des Jeux Olympiques de Paris 2024, où elle a terminé vice-championne. Dans un entretien avec GQ, l’ex-sélectionneur des Espoirs a exprimé que cette expérience dépassait même ce qu’il avait vécu lors de la Coupe du Monde 1998 en France, soulignant l’importance et la fierté de sa performance avec les jeunes Bleus.

«À titre personnel, les JO dépassent tout pour la simple raison que mes enfants étaient présents dans les tribunes. Ils avaient beau avoir vu des vidéos et des images de 1998 et de 2000, je n’avais pas pu partager de telles émotions avec eux et avec mon pays. Après le coup de sifflet final contre l’Espagne, le compétiteur que je suis était dégoûté de ne pas ramener l’or à la Team France, mais en voyant mes enfants heureux dans les tribunes, j’ai réalisé que c’était beau ce qu’on avait fait. Pendant ma carrière de joueur, je n’avais jamais réussi à relativiser comme ça. Je suis allé sur la pelouse pour rassembler l’équipe et leur dire : « n’ayez pas honte, ne soyez pas déçus, vous avez tout mon respect ».»

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Messi : « Tu te chies dessus, je ne t’aime pas »

Lionel Messi a vivement critiqué l’arbitre brésilien Anderson Daronco lors de la défaite de l’Argentine face au Paraguay (2-1) en qualifications pour la Coupe du monde. Le capitaine de la sélection, frustré par une décision contestée, s’est emporté à la mi-temps, reprochant à l’arbitre de ne pas avoir expulsé un joueur paraguayen.


Messi lui a adressé des propos grossiers. « Tu te chies dessus, je ne t’aime pas », aurait-il lancé selon plusieurs médias argentins. Cette défaite marque le deuxième revers des Argentins, qui avaient déjà contesté une décision arbitrale lors de leur première défaite en Colombie en septembre.

Malgré un match décevant face à Israël (0-0), l’équipe de France a validé sa qualification pour les quarts de finale de la Ligue des Nations. Cependant, le latéral Jules Koundé (26 ans, 39 sélections) n’a pas souhaité se concentrer sur cet aspect. « Il y a de la frustration, de la colère, tout… On n’a pas fait un bon match. On a eu des occasions mais on n’a pas mis ce qu’il fallait, c’est la raison pour laquelle on fait un nul. La qualification ? Je ne sais pas si on peut s’en réjouir après le match qu’on a fait, on va dire que c’est le seul point positif ».

Deschamps secoue les Bleus

« Le match contre l’Italie ? Notre objectif doit être de faire beaucoup mieux, il le faudra si on veut gagner. C’est une équipe qui a plus de qualités, il faudra mettre plus d’intensité et d’agressivité, et bien finir », a commenté le joueur du FC Barcelone au micro de TF1.

Didier Deschamps n’a pas hésité à adresser un message clair à ses joueurs après le match. Visiblement frustré par le manque d’efficacité et d’intensité de son équipe, le sélectionneur a été cash. « Si j’ai secoué mes joueurs ? Oui, je le leur ai dit, ce n’est pas ce qui était prévu. On a mis trop de temps dans les transmissions. On n’a pas fait la différence par la passe ou le dribble, ou trop peu. On a commencé timidement, sur la pointe des pieds », a soufflé l’ancien coach de la Juventus Turin en conférence de presse.

Deschamps, le ras-le-bol avec Mbappé

Didier Deschamps en a assez qu’on lui parle de Kylian Mbappé. Interrogé à ce sujet par TF1, le sélectionneur, visiblement agacé, a réagi vivement, exprimant son mécontentement face aux spéculations autour de son capitaine absent. « Ah vous voulez me relancer dessus ? Il n’est pas là, j’ai dit ce que j’avais à dire. Laissez-le tranquille. Des fois, c’est bien pas trop en dire aussi », a-t-il dit. « Il n’y a pas de sanction, non. C’est factuel. Il est dans une situation compliquée, oui. Je suis derrière lui, oui. Il traverse la période de sa carrière la moins heureuse, oui. Il avait envie de venir, je le redis, mais je pense que c’est mieux en ce moment pour lui. Tout le monde a le droit d’avoir une période compliquée. Il y a l’aspect physique et psychologique aussi », a-t-il déclaré.

« Liza (Bixente Lizarazu, ndlr), on comprend bien… Il y a sans arrêt des interprétations, que je parle ou que je ne parle pas. Donc je fais attention quand je parle. Je ne vais pas entrer dans des débats où il n’y a rien parce qu’il n’est pas là ».

 

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