Luis Enrique a signé une prolongation de contrat avec le PSG jusqu’en juin 2027, consolidant ainsi sa position au sein du club.
Luis Enrique est le boss, le seul, l’unique. Il dirige le PSG seul et en totale autonomie, selon l’Equipe et Le Parisien. Les dirigeants parisiens estiment qu’il est l’entraîneur idéal pour mener le nouveau projet, en raison de son expérience et de sa vision. Malgré une communication parfois jugée autoritaire, cela n’a pas remis en cause sa prolongation.
Luis Enrique, qui a récemment discuté avec des clubs de Premier League, reste attaché à sa mission à Paris, où il se sent dans un environnement de travail favorable. Ce renouvellement vise à sécuriser un entraîneur très respecté en Europe, aux côtés de Luis Campos, son conseiller sportif. Luis Campos devrait aussi prolonger son contrat.
Luis Campos va aussi prolonger
« Avec Luis Campos, le conseiller sportif de la présidence lui aussi en passe de prolonger – il dispose d’une proposition encore à l’étude -, le coach espagnol forme un duo complémentaire. Les deux têtes pensantes sportives du club ne sont pas d’accord sur tout mais partagent une vision globale commune et parviennent à travailler ensemble sur la durée. En prolongeant son coach, le PSG a voulu sécuriser le contrat d’un technicien qui conserve une cote élevée en Europe. […] Luis Enrique voulait s’inscrire dans la durée, le PSG tenait absolument à le garder. Le mariage continue pour au moins deux ans de plus », assure Le Parisien.
Luis Enrique veut aller au bout du projet
Luis Enrique est comme rarement, ou même jamais, seul maitre à bord. L’Espagnol est le premier entraîneur totalement libre, en terme d’action et de parole. Toutes ses décisions sont validées par la direction du PSG, selon l’Equipe.
« C’est simple, aucun entraîneur du PSG sous l’ère qatarienne, commencée en 2011, n’a bénéficié d’autant de pouvoir et de liberté d’action que lui. À Paris, Luis Enrique estime n’avoir pas encore terminé la mission pour laquelle il est venu. Il dit profiter d’un environnement et de conditions de travail optimaux », conclut L’Equipe.
